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NOUVELLE MISE A JOUR LE 15 avril 2014

vendredi 11 juin 2010

Bruno Brun signera Les étrangers dans le Gard pendant la 1re guerre mondiale

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Samedi 12 juin, de 9 à 17 heures à la Maison de la presse rue Docteur-Serre (nouvelle presse des Cévennes), l'Alésien Bruno Brun signera Les étrangers dans le Gard pendant la 1re guerre mondiale (mars 2010, 162 pages, 20 €, éditions Lacour). Ce texte, qui valut à notre compatriote en 2009 le mastère d'histoire militaire à l'université Paul-Valéry de Montpellier …

La suite sur le Midi-Libre
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Les Peintres dans la Grande Guerre

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Les 4 jours de Verdun sont nés d’une ardente obligation. Celle de sauvegarder « encore et toujours » le souvenir de la Bataille de Verdun.

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RD 643 : 226 obus de la Première Guerre mondiale découverts

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Suite à la découverte de 40 obus, la RD 643, entre Estourmel et Awoingt, a été déviée ce jeudi 10 juin. Le dispositif a été levé à 11 h 30 par la gendarmerie.

La suite
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Des Dragons en ville

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Jeudi dernier, les cavaliers du 2 e Régiment de Dragons, commandés par le colonel Xavier Lefèbvre, ont effectué une prise d'armes à Masevaux en présence de Laurent Lerch, maire, de Roger Gaugler président départemental du Souvenir français et de Claude Iltis, président de l'Union nationale des anciens combattants (UNC)

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Versailles perd son régiment, mais le Génie garde ses moyens

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Eclaircie cet après-midi sur l'avenue de Paris, à Versailles (78), où se déroule la cérémonie marquant la dissolution du 5ème régiment du génie, le régiment historique de la ville royale. Il sera officiellement rayé de l'ordre de bataille le 30 juin à minuit.

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mercredi 9 juin 2010

Obsèques à Fontenay-sous-Bois

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Les obsèques de Marcelle et Lucien Lapie, enfant de huit et trois ans, tués par les bombes allemandes à Fontenay-sous-Bois, dans la nuit du 30 au 31 janvier 1918.
Leur père arrivant en permission, heureux de les serrer dans ses bras, ne put que les ensevelir.



Il fallait à Paris, néanmoins, un assez beau ressort moral pour montrer ce clair visage. Il respirait une atmosphère chargée de menaces, ses nuits troublées par les incursions aériennes des escadrilles ennemies, et, le jour, servant de cible lointaine au canon géant braqué dans la région de Laon. Quelques étapes de uhlans séparaient seules les lignes allemandes de ses boulevards. Depuis le 22 mai 1915, il avait perdu le souvenir des « taubes », apparus pour la première fois dans le ciel le 30 août 1914. Les zeppelins ne l’avaient occupé que du 21 mars 1915 au 29 janvier 1916. En décembre 1917, il attendait les Gothas. Ils vinrent dans la nuit du 30 au 31 janvier 1918. Jusqu’au 14-15 septembre, il laissèrent tomber sur la ville 295 projectiles, 326 sur la banlieue, 43 sur la grande banlieue. Le 24 mars la « Bertha » * faisait ses débuts, intriguant la population jusqu’au soir, quand le communiqué de cinq heures révéla, au milieu, d’ailleurs, de l’incrédulité à peu près générale, l’origine et les particularités balistiques des mystérieux projectiles tombés on ne sait où, à partir de 7 heures du matin. Elle devait se taire le 9 août. Entre temps elle avait fait des victimes : 256 tués, 612 blessés ; pas de combattants, naturellement : des vieillards, des enfants, des femmes pour la plupart ! L’attaque aérienne nocturne du 30 au 31 janvier 1918 fut de toutes la plus sanglante. Paris n’était pas tout à fait prêt. Outre que la nuit était extrêmement lumineuse, il avait gardé trop de lumières. Les barrages de sa défense étaient trop faibles. Ses gardiens, les avions du Bourget, ne purent réaliser tout ce qu’on avait attendu, à l’excès de leur rôle. Les Gothas lâchèrent cette fois sur la ville 91 bombes ; 2 de 300 kilos n’éclatèrent pas. Il y eut 51 morts et 204 blessés dans l’agglomération parisienne. Au matin, le soldat Lapie, un permissionnaire du 118e d’artillerie, arrivait heureux, pour dix jours, auprès de sa femme et de ses deux enfants : Marcelle, 8 ans, Lucien, 3 ans. Dans le train de banlieue qui l’amenait à Fontenay-sous-Bois où il avait son foyer, des conversations de voyageurs l’instruisirent : sa maison écrasée ; Marcelle, Lucien, morts ; sa femme à l’hôpital, le bras gauche arraché, une jambe broyée. La guerre avait toujours exigé que des enfants pleurent leur père. Mais il avait fallu la guerre à l’allemande pour que des pères vinssent du front ensevelir leurs enfants assassinés !

* La grosse Bertha (obusier d’une portée de 12,5 km) est confondue avec le canon de Paris

http://html2.free.fr/canons/bertha.htm

http://html2.free.fr/canons/canparis.htm

Sources : l’Illustration

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L’abri-mémoire d’Uffholtz

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Merci à Louis
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L'ONF détruit un monument de la Grande Guerre

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Un ouvrage emblématique de la guerre 14/18, situé au lac Noir, a été détruit le mois dernier. Gestionnaire du site, l'ONF indique que le bâtiment, une ancienne ambulance alpine, menaçait de s'effondrer.
Sa disparition a suscité beaucoup d'émoi chez les passionnés de la Grande Guerre.

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Il était temps d’en parler !


http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Sites-et-vestiges-de-la-Grande-Guerre/memoriam-ambulance-noir-sujet_1408_1.htm
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La Force noire exposée à la bibliothèque

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Jusqu'au 30 juin, l'Onac (Office national des anciens combattants et victimes de guerre) présente à la bibliothèque municipale une exposition intitulée La Force noire (1857-1965).
En 1909, le succès des opérations militaires et la valeur des troupes noires incitent le colonel Mangin à réclamer la constitution d'une Force noire dont les sacrifices consentis sont récompensés par l'attribution de la légion d'honneur au premier régiment des tirailleurs sénégalais.

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Le fort d'Englos ouvert ce week-end

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Le fort Pierquin, anciennement appelé fort d'Englos sera ouvert aux visites les samedi 12 et dimanche 13 juin. ...

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Saint-Raphaël : des historiens font la lumière sur l'ancre

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Les coloniaux ont toujours été intéressés par les ancres de marine et parmi celles-ci, il en est une qui intrigue particulièrement le voyageur arrivant pour la première fois dans le vieux port de Saint- Raphaël.
Elle est énorme, en acier, pèse plusieurs tonnes et côtoie le monument commémorant le retour d'Égypte du jeune général Bonaparte. Ceux qui se font photographier à côté d'elle ignorent tout de son histoire, qui mérite cependant d'être contée.

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Crânes retrouvés à Angres : selon un passionné d'histoire, ce serait ceux de soldats allemands

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L'affaire des crânes retrouvés à Angres n'a pas manqué de faire causer.
Un lecteur habitant à Angres, passionné d'histoire qui plus est, nous a écrit pour éclairer ce mystère, livrer des informations précieuses et échafauder des hypothèses. Nous l'avons rencontré.

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lundi 7 juin 2010

Double hommage aux jeunes soldats australiens

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Pour rendre hommage aux jeunes victimes australiennes de la Première Guerre mondiale, deux cérémonies ont eu lieu vendredi en fin d'après-midi.
L'une se déroula au Toronto Cemetery et l'autre devant le mémorial, lors d'un Last Post.

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D'Epervier à Crécerelle

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Cette unité remarquable est créée le 1er janvier 1945 mais sa filiation est prestigieuse puisqu'il est le digne descendant de l'escadrille MF 33 dont les pilotes ont été d'illustres combattants de la Grande Guerre.
Dès lors il n'est pas surprenant que le « Belfort » possède plusieurs décorations attestant son engagement total dans les missions qui lui ont été attribuées.

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Exposition permanente sur la présence du grand quartier général britannique durant la Première Guerre mondiale

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Après avoir fait le tour des remparts de la ville, il faut prendre le temps de découvrir ou de redécouvrir la citadelle, place arrière forte du littoral située au carrefour d'axes primordiaux de l'histoire française et européenne.

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Un vallon bucolique

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Au départ de ce parcours bucolique, un chapiteau de l'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais représente un chevalier luttant contre un lion, emblème de Saconin. Commémoré par une tombe en plein champ, un haut fait de la Première Guerre mondiale lui fait écho : le lieutenant Chavoix, jeune officier bordelais, trouva la mort en délivrant le village.

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Les traîtres : Une enquête de Célestin Louise, flic et soldat dans la guerre de 14-18

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Le flic poilu

Les traîtres est la quatrième aventure de Célestin Louise, policier des Brigades du Tigre, engagé sur le front pendant la Grande Guerre de 14-18.

Tout commence dans les tranchées, dans la gadoue et le froid de l'hiver 1917, quand quelques poilus tentent d'améliorer le rata ordinaire en taquinant le goujon ...

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