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NOUVELLE MISE A JOUR LE 15 avril 2014

mercredi 8 juin 2011

Monument aux morts d’Ustaritz


Sculpteur Firmin Michelet ( né à Tarbes, 1875-1951)
Inauguré en 1921.


Situation : Dans le parc à proximité de l’église chemin du car Halty au séminaire


Il représente un poilu lançant une grenade.


Un canon de 75 etait également présent Ce dernier fut jeté dans la Nive avant l’arrivée des Allemands après la défaite de 1940.



Source Mairie d’Ustaritz

mardi 7 juin 2011

Monument aux morts d’Hendaye


Sculpteur : Ducering
Monument inauguré le 7 décembre 1921


Situation : L’emplacement choisi fut le Vieux-Fort entre la baie et le boulevard de la Plage.
Aujourd’hui, boulevard du Général De Gaulle


Le groupe sculptural, devant un hémicycle architectural, représente la France, tenant sur ses genoux un poilu expirant.


En 1922, il est envisagé de clôturer et d’éclairer le monument, ce fut fait en 1923.

Une souscription organisée par la ville frontalière espagnole d’Irun, voulant participer à l’édification du monument, a rapporté la somme de 1700 F.


Sources : Office du tourisme d’Hendaye
Tous mes remerciements à Madame Odile Artola

samedi 4 juin 2011

Le monument aux morts de Cambo Les Bains


Apparemment c’est un monument aux morts traditionnel


Mais quand on détaille la sculpture, nous trouvons des symboles basques


Chistera
Pala
Pelotas
Makhila
Chakoa ou zahato


Pala et Pelotas

Chistera et Chakoa

Makhila

Je n’ai pas trouvé la signification de la serpe

Imaginez la tête de la personne de l’office du tourisme quand j’ai posé la question !

Ils sont plus intéressés par les curistes que part un illuminé qui photographie les MAM

jeudi 2 juin 2011

LEZARDRIEUX


Auteur(s) : Déchin, Jules (sculpteur) ; Hernot, Yves (sculpteur) ; Durenne (fondeur) Représentation : soldat ; coq gaulois ; croix latine ; palme ; ancre
Monument inauguré le 13 novembre 1921


Monument en granite placé sur une plate-forme rectangulaire délimitée par des piliers reliés par des chaînes.
Il se compose d'un soubassement recevant une stèle précédée d'une statue d'un soldat agonisant. La stèle sommée d'un Coq gaulois triomphant (coq chantant les ailes déployées) est agrémentée d'un décor sculpté associant une croix latine, une ancre et une palme de laurier.

Epitaphe
1914 – 1918
AUX ENFANTS
DE LEZARDRIEUX
MORTS
POUR LA PATRIE


La tête a découvert, la main gauche crispée sur le cœur et la main droite tenant le fusil posé à terre, le soldat gravement blessé est en partie couché sur le flanc droit, le dos appuyé contre un rocher.


Source Archives cotes d’Armor

mercredi 1 juin 2011

Encore des dégradations à l’Hartmannswillerkopf


Après le monument des chasseurs allemands en début d'année, la croix de fer du Ziegelrucken Stollen a été brisée et le fronton tagué ces jours derniers.





Photos L.S.


lundi 30 mai 2011

Ossuaire de Douaumont


Pour tout savoir sur l’ossuaire, un livret est en vente sur tous les sites du champ de bataille



Merci aux auteurs


vendredi 27 mai 2011

Désolant !!!


Un message de l'association "A La Découverte du Fort de Sucy"


C'est avec une grande amertume que je vous fait part de l'éventuelle expulsion de l'association "A La Découverte du Fort de Sucy" (94, Val de Marne) des locaux qu'elle occupe depuis 15 ans.

En effet, non contente de nous priver des subventions qu'elle nous accordait jusqu'alors, la commune semble décidée à nous reprendre cette année les locaux qui furent aménagés par une poignée de passionnés (avec l'argent de l'association bien sûr, pas directement avec celui de la commune).


Je sollicite donc toute votre vigilante attention sur ce fort (qui est l'un des rares forts encore visitables en Ile de France), une pétition sera lancée prochainement pour essayer de sauver cette association qui avait également pour projet de constituer un fond documentaire sur la défense de Paris. La ville ne veut pas le laisser à l'abandon, elle veut juste se le réapproprier pour faire de "l'évènementiel". C'est beaucoup plus simple (et moins coûteux) pour elle de nous déloger après que nous ayons remis en état les locaux que nous occupons encore aujourd'hui (mais pour combien de temps, c'est une question de quelques mois). D'autres associations occupent le fort, notamment un club de tir (l'un des plus importants de la région), le plus gros club de VTT du département, des maquettistes, des mycophyles, etc...


L'un des reproches qui nous a été formulé par la ville est de trop parler d'histoire lors de nos visites mensuelles, mais comment ne pas parler un minimum d'histoire en faisant visiter un fort de la deuxième ceinture de Paris en le remettant dans son contexte ???


A noter que le 26 mai 2011 ont eu lieu au Sénat à Paris les premières assises du Tourisme de mémoire sous le haut patronage du Ministre de la Défense, du président du Sénat et du secrétaire d'état au tourisme

lundi 23 mai 2011

Le monument aux morts de Biarritz


La décision d'ériger un monument en souvenir des enfants de Biarritz morts pour la Patrie date du 15 décembre 1918


Le statuaire retenu pour la confection de l'œuvre est Edouard Cazaux.
Il a également créé les monuments de St Vincent de Tyrosse et Castets.

Le monument a été inauguré le 11 novembre 1921.



lundi 9 mai 2011

Livre sur le Sudel


Un livre sur le Sudel, c’est assez rare.


Ce sont les faits, tels qu’ils ont été exprimés dans les rapports,
les journaux de marche et des opérations des divisions, brigades,
régiments et bataillons ; dans les journaux ou correspondances
de poilus ainsi que dans quelques publications. Les
documents historiques retranscrits proviennent du Service
Historique de la Défense. Ils ne concernent que les unités
françaises. N’étant ni historien ni écrivain, ce fascicule, probablement
très incomplet, comporte sans doute quelques
erreurs que l’on voudra bien excuser.

Il sera en vente à l'office de tourisme de Cernay, à l'auberge du Silberloch (HWK) et à la ferme du Sudel (Le refuge est ouvert à tous, le dimanche de 11h à 17h) ou en contactant l’auteur louis.scheromm@wanadoo.fr

Prix 15 euros
Port "lettre max" 4,25 euros.

Les Godillots sont là !

présentation

Les éditions Bamboo

dimanche 8 mai 2011

Le col des Journaux






Combats du 5e BCA

Mis en réserve à la papeterie d'Anould, les 2 et 3 sep­tembre, les chasseurs du 5e vont avoir à faire face à ce nouvel assaut. Pendant ces deux jours de repos, le batail­lon est reformé tant bien que mal à l'effectif de quatre compagnies
L'ennemi, qui se sent nettement arrêté dans la région d'Entre-deux-Eaux, va porter son effort sur la crête de Mandray, qui protège la vallée de Fraize et la route de Gérardmer. Cette crête perdue entraînerait fatalement la perte, pour les troupes françaises, de la riche vallée Fraize -¨Plainfaing. Aussi s'agit-il de tenir ferre cette importante position où, pendant neuf jours consécutifs, les chasseurs vont avoir à lutter pour ne pas céder un pouce de terrain à l'ennemi. Le 4 septembre, le bataillon quitte Anould pour se porter au hameau de Mandramont, en réserve de brigade.
Le 5 septembre, le col des Journaux, qui domine et commande Fraize, est violemment attaqué par les Bavarois qui obligent le 133e régiment d'infanterie à abandonner momen­tanément le col et à se replier sur Fraize. Le 6 septembre, il s'agit pour les chasseurs de reconquérir le terrain perdu la veille. A 16 h. 45, appuyé à droite par le 133e régiment d'infanterie, le 5e B. C. A. débouche de Fraize et escalade les pentes de la cote 628.
A 18 heures l'objectif est atteint et le terrain conquis mis en état de défense. Les pertes de la journée, si elles sont légères n'en sont pas moins sensibles : 20 chasseurs environ sont tués ou blessés et deux officiers, le lieutenant Tabournel et le sous-lieutenant Adam, sont tués.
Le 7 septembre; relevées par le 133e régiment d'infan­terie, les quatre compagnies du bataillon sont rassemblées en arrière de la cote 628 pour attaquer dans la journée le col de Mandray. Déclenchée à 6 heures, l'attaque a un plein succès; l'ennemi abandonne définitivement la crête et le col de Mandray. Les 1re, 5e et 6' compagnies, placées en première ligne, organisent rapidement le terrain con­quis, la 3e compagnie est tenue en réserve. Chaque compa­gnie doit envoyer en avant de sa ligne de résistance sur les pentes nord de la Crète, des patrouilles chargées de reconnaître l'ennemi. Le lieutenant Heude se porte avec quelques hommes le long de la grand'route de Fraize à Mandray ; soudain un coup de feu part d'un buisson et le lieutenant tombe mortellement frappé à la tète. Son corps est ramené par ses hommes. Vers 18 h. 30, les chasseurs de la 1re compagnie qui barrent la grand'route entendent un chant rythmé par des fifres et des tambours. C'est l'ennemi qui, au chant de « Wacht am Rhein », tente une attaque en masse, pour enlever le col.
Le capitaine de la Beaume qui a fait placer dans la journée, à 30 mètres devant sa tranchée, des fils de fer qui courent au ras du sol, calme l'ardeur de ses chasseurs qui voudraient ouvrir le feu et attend. Soudain, à 50 mètres, officiers en tète, l'ennemi surgit. Il y a là la valeur d'une compagnie. Visant bas, les chasseurs ouvrent un feu rapide, les Allemands hésitent, tourbillonnent et dévalent dans la nuit les pentes que quelques instants avant ils gravissaient si allègrement. Le lendemain matin, les chasseurs de la 1re compagnie trouvent avec joie, en avant de leurs lignes, une vingtaine de cadavres et une quantité de fusils et d'équipements. Les 8 et 9 septembre, la position est organisée. Cependant l'ennemi, qui a cédé complètement du col du Bonhomme au col de Mandray, garde à gauche de ce point, devant le 13e chasseurs, une sorte de fortin organisé dans les rochers. Il s'agit pour le 5e bataillon d'aider les camarades du 13e à enlever ce der­nier poste ennemi.
Le 10 septembre, à 13 h. 30, les 1re et 5e compagnies, sous les ordres même du commandant Jacquemot, com­mencent l'attaque. Jusqu'à la tombée de la nuit on se fusille à bout portant, l'ennemi se cramponne énergique­ment et occasionne des pertes assez sérieuses aux deux unités engagées.
En entraînant ses chasseurs, le commandant Jacquemot est blessé d'une balle à la cuisse, les lieutenants Roussel et Thamin sont également blessés. A la nuit tombante, chacun s'organise sur ses positions respectives.
Pendant la nuit les Allemands, qui viennent de perdre les deux batailles de la Marne et du Grand-Couronné de Nancy, battent en retraite et, le 11 au matin, les chas­seurs sont tout surpris de ne plus rencontrer l'ennemi en patrouille là où ils l'ont laissé la veille. A 9 heures, l'ordre est donné au bataillon d'entamer la poursuite en se portant sur Haute-Mandray. Là, les chasseurs sont assez heureux de délivrer 22 chasseurs du 13e, blessés, que les Allemands n'avaient pas eu le temps d'enlever.
Le 12 au matin, le capitaine Lallemand, qui a pris le commandement du bataillon, reçoit l'ordre de se porter par Coinches sur Raves et Bertrimoutier où le bataillon séjourne jusqu'au 16.


Source Historique du 5e BCA

mardi 3 mai 2011

VESTIGES 1914 1918


Le blog n’était trop alimenté car je viens de mettre à jour le site VESTIGES 1914 1918

A bientôt

jeudi 28 avril 2011

Tréguier


Monument aux morts également appelé "La Pleureuse", réalisé par Francis Renaud.




Renaud utilisa Marie-Louise Le Put, devenue veuve au cours de la Première Guerre mondiale, comme modèle.
Elle est habillée de la mante de deuil, vêtement porté jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, avec une grande capuche protégeant sa coiffe.

Inauguration 1922

Situation Place du Général Leclerc

mercredi 13 avril 2011

Thiaucourt



Ce monument est une représentation de l'amitié franco-américaine


Sammy et Poilu unis dans le même combat


Fresques représentant l’avance américaine


et la solidarité entre population et militaires


mercredi 6 avril 2011

Cimetière Américain de Saint-Mihiel




Dans ce cimetière implanté à Thiaucourt, quasiment au centre du saillant de Saint-Mihiel, sont inhumés 4153 soldats américains, la plupart, tombés lors des combats pour la réduction du saillant.


A l’intersection des allées se trouve un cadran solaire représentant un aigle stylisé avec cette inscription (traduite)
LE TEMPS N’EFFACERA PAS LEURS EXPLOITS GLORIEUX



A chaque extrémité de l’allée transversale nous trouvons une urne ornementale et la statue d’un officier américain en tenue de campagne.


En continuant le mail central nous arrivons au mémorial.




Ce mémorial en forme de péristyle avec en son centre, une urne en granit rose, est flanqué d’une chapelle et d’un musée dont les portes sont ornées de têtes de soldats miniatures.

Source : American Battle Monuments Commission

lundi 4 avril 2011

Thiaucourt



Dans le cimetière militaire allemand de Thiaucourt, il y a quelques tombes de soldats français.





A noter que ces hommes ne sont pas répertoriés sur le site SGA/Sépultures de guerre


lundi 28 mars 2011

« Bulldog fountain » à Belleau


Plus de 5.000 marines sont morts au Bois Belleau (Aisne) en juin 1918


Aujourd'hui tout vétéran ou marine, lors de son passage en France, se doit de se rendre sur le site de Belleau. Après avoir arpenter


les restes du champ de bataille,


le cimetière,


se recueillir à la chapelle, il n'a qu'une seule envie : se rendre à la « Bulldog fountain » Cette fontaine en forme de tête de bouledogue trône, dans la cour des anciennes écuries du château de Belleau entièrement détruit pendant la Première Guerre mondiale. Plus précisément, elle à l'ombre d'un immense platane. La légende raconte que les marines qui ont combattu héroïquement dans le bois s'y seraient rafraîchis.
D'après les faits historiques, Belleau a été libéré par le 26e régiment d'infanterie de l'armée américaine et non pas par le corps d'élite.
Les marines n'ont jamais été plus loin que le bois. Ils n'ont jamais pu la voir.
Cette fontaine est en effet à un kilomètre en contrebas du champ de bataille. Les marines ne sont jamais rentrés dans le village.


Peut importe, ce bulldog est devenu un des emblèmes de l’USMC

Source : http://sgtgrit.com/usmc-web/freebies/backgrounds.asp