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NOUVELLE MISE A JOUR LE 15 avril 2014

lundi 25 octobre 2010

le fort de Vaux pillé

Dans la nuit de vendredi à samedi, des cambrioleurs se sont introduits dans le fort pour dérober des costumes de Poilus. Ils ont déshabillé le mannequin du commandant Raynal.

La suite sur l'est républicain

Les footballeurs de la Guerre

Un mémorial a été érigé jeudi en l'honneur de six footballeurs britanniques enrôlés dans la bataille de la Somme. Jeudi matin, ce monument, le premier du genre, a été inauguré par la Ligue de Football britannique sur le site de Delville Wood, 92 ans après la fin du conflit.

La suite sur France3

Le seul survivant

Le bois Delville

Cancon. Une conférence


C'est traditionnel « Les Amis du Vieux Cancon » présentent à une date proche du 11 novembre une conférence qui à un rapport avec la guerre de 14-18 afin de perpétrer la mémoire de cette guerre tragique pour la population française. Cette année elle aura lieu le dimanche 7 novembre

La suite sur la dépêche

Acheter une bougie pour entretenir leur mémoire


De nombreux Morts pour la France reposent dans des tombes indignes.
Pour les réhabiliter, le Souvenir Français propose ses Flammes de l'Espoir. TombéS pour la France, mais tombés dans l'oubli ? C'est le douloureux paradoxe révélé par de nombreuses sépultures de l'arrondissement.

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Hommage à 17 soldats de la guerre de 14-18


Dix-sept tombes de soldats de la Première Guerre mondiale étaient en déshérence dans le cimetière de Saint-Sauveur.
André Girard, président cantonal du Souvenir Français, alerte donc Christian Giret, maire délégué. Après quelques années d'un long processus, à l'entrée du cimetière, un carré militaire regroupant 17 croix latines nominatives s'aligne enfin sur deux rangées impeccables, correspondant aux 17 tombes recensées parmi les 32 soldats tombés et figurant sur le monument aux morts.


La mémoire retrouvée des Badennois morts à la Grande Guerre


Il s'appelait Louis-Roger Le Vu. Il était novice sur un bateau qui a été torpillé en 1917.« Il n'avait que 16 ans. C'est le plus jeune des Badennois morts au cours de la Grande Guerre », raconte Jean Bergez, président de l'association Le panier badennois.
Pendant deux ans, un petit groupe de l'association s'est plongé dans les archives pour retrouver la mémoire des disparus de la guerre 14-18. Le but : donner un visage humain aux noms gravés sur le monument aux morts de Baden et de Larmor qui, avant 1924, n'étaient qu'une seule commune. « En guise de souvenir, on n'avait que les noms gravés sur le monument aux morts. Et rien d'autre. » Onze nouveaux noms

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La « Royal british legion » lance sa campagne « Poppy 2010 » à Boubers


Il y a une dizaine d'années, Anne-Campbell et Jeremy Towler s'installaient à Boubers-sur-Canche. Monsieur est colonel, a passé trente-sept ans dans l'armée britannique. Un couple de Britanniques qui a été sollicité il y a trois ans pour s'occuper de la « Royal british legion ». Une véritable institution, présente dans de nombreux pays, qui vient en aide aux anciens combattants.

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poppy canadien

Mort à 24 ans dans le ciel de Massiges Jehan de Terline héros de l'aviation


La banale lecture d'une indication de rue à Chalons peut réserver quelques surprises. En recherchant l'origine de tel ou tel nom marqué de blanc sur une plaque de métal bleu, on retrouve des faits d'armes qui méritent largement d'être à nouveau évoqués.
Jehan Macquart De Terline, né à Blendeques dans le Pas-de-Calais le 21 juillet 1892, eu un destin héroïque. A l'âge de 24 ans, le 27 juillet 1916, il trouve la mort dans un combat aérien à Massiges-Minaucourt. A cette époque, la formation des pilotes est réduite. En revanche, lorsque les premiers combats aériens se multiplient, les talents de plusieurs combattants s'affirment. On les surnomme les « As » et ils deviennent rapidement populaires.

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Des histoires hissées hors des tranchées


Cartes postales, lettres, tenues d'époques Depuis une trentaine d'années, Pierre Perrin collectionne des objets liés à la Première Guerre mondiale.
«Mes deux grands-pères ne m'ont jamais beaucoup parlé de cette période. Mais un jour, l'un d'eux, qui était artilleur au cours de la Première Guerre mondiale, m'a offert sa baïonnette. Et puis, après leurs décès, j'ai retrouvé leurs souvenirs : des lettres, des photos, des décorations, des carnets militaires » Depuis ces découvertes, Pierre Perrin se passionne pour le conflit de 14-18. Il a même créé le Crapouillot en 1992. Le président de l'association a « fait repartir plein pot » la machine depuis un an, après trois années de sommeil de la structure.

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