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Jusqu'ici, Lannion présentait en effet la particularité d'être l'une des rares villes de France, la seule du département en tout cas, à ne pas avoir inscrit en place publique le nom de ses enfants morts à la guerre. Sans que personne ne sache exactement pourquoi. Brélévenez, Loguivy-les-Lannion et Servel l'avaient fait avant la fusion au début des années 60, mais pas la ville-centre. La suite sur Ouest-France
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