Les riverains s'inquiètent des conditions de stockage de ces armes de la Première Guerre mondiale. Un site de traitement serait livré dans quelques années à Mailly-le-Camp.
«Je trouve inadmissible de vouloir dépenser un pognon fou alors qu'on peut détruire ces obus chimiques dans l'enceinte du camp ! ».
La colère du maire de Suippes ne baisse pas en intensité.
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