Auguste Hervouet, poilu anonyme de la Grande Guerre, est en train de connaître une postérité inattendue. Né en 1884, mort en 1952, cet homme originaire de Saint-George-de-Montaigu, en Vendée, a passé quatre ans dans les tranchées. Et pris des notes, de Vierzon à Verdun, de Nancy au chemin des Dames, sur ses conditions de vie et de bataille. Ses descendants, dont sa petite-fille, Gisèle Morio, née Leconte, Sébastiennaise depuis deux générations, ont décidé de publier ce récit authentique, témoignage d'une guerre interminable qui démarra il y a presque un siècle. Des liens resserrés
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