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Ma mère m'appelait 14-18, tandis qu'elle appelait mon frère l'an 2000... » C'est dire si la Première Guerre mondiale, Jean Schincariol la tient chevillée au corps... S'il a balayé nombre de ses aspects au fil des années, il était passé à côté des poèmes écrits lors de cette période. Un oubli réparé, avec le montage poétique qu'il a réalisé et qui sera présenté au public le 10 novembre à Oignies.
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